Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pms andré roche - Page 18

  • LA SAGA DE L’EQUIPE DE FOOTBALL EXPOGRAPH VANVES - 3éme mi-temps : « Des projets à Vanves pour aller plus loin ensemble ! »

    Ce championnat National Entreprise  qui verra s’affronter au PMS André Roche, Expograph Vanves et le CHU d’Amiens samedi prochain, n’est pas différent des autres, sauf au niveau du jeu où la différence se fait, peut être,  sur  la circulation du ballon, selon les experts s’ils la comparent au jeu  l’équipe première de la section football du Stade de Vanves qui est en pleine mutation et progresse bien en ce moment.

     

    « L’âge de  nos joueurs est plus étalée, allant de 18 ans à 39 ans (alors qu’au Stade de Vanves, c’est plus restreint avec une moyenne d’âge plus jeune), mais l’expérience des anciens pro peut servir au Stade de Vanves dans l’avenir. C’est ce que j’essaie de faire pour fédérer tout cela, afin que  tout le monde marche dans le même sens. Nous devrions y arriver avec le projet de la mairie (réfection des tribunes au PMS A.Roche), avec la réhabilitation des équipements sportifs du  lycée Michelet. S’il les ouvre, nous aurons un potentiel énorme, et la possibilité de mettre en place un projet exceptionnel avec des gens compétents comme David Remisse qui était encore tout récemment l’entraîneur de l’équipe de 1ére Division d’Issy les Moulineaux féminine et  sera un des piliers de ce projet » explique Jean Royer, président d’Expograph Vanves .

     

    Des rapprochements entre les deux clubs et les deux équipes sont en cours même s’il y a des tiraillements encore, sur un plan matériel surtout,  pour monter un beau projet sportif qui ne peut que bénéficier à notre commune : « Nous nous s’efforçons avec Jean Louis Vignal, président de la section football du Stade de Vanves,  à ce qu’il y ait un rapprochement. Car  avec David Remisse et la mairie, nous avons un très gros projet en partenariat avec le lycée Michelet qui devrait se mettre en place. L’objectif est d’arriver à réunir le stade de Vanves et Expograph-Vanves comme vecteur porteur pour la jeunesse, créer des synergies, profiter des installations du lycée Michelet (qui doivent être réhabilitées)  et faire une école de jeunes footballeuses » explique t-il

     

    Pour l’instant, tout est affaire de diplomatie : « Les relations s’améliorent car lorsqu’on est arrivé, on a été très mal vu, certains pensaient qu’Expograph allait prendre la place du Stade de Vanves, ce qui est entièrement faux !  Les relations avec Jean Claude Vignal sont excellentes, ce qui n’est pas toujours le cas de certains seconds couteaux qui ont peur que l’on prenne leur petite hégémonie sur les créneaux horaire. Mais notre objectif a toujours été de se servir de nos joueurs de haut niveau pour fédérer et attirer des joueurs sur Vanves. Ce qui est en train de se faire.  Il y a certes encore des tirages de maillot un peu partout, mais on avance bien avec des petits ramasseurs de ballons du Stade de France qui vont officier lors des matchs du championnat national d’entreprise de France d’Expograph. Certains ont bien compris d’être tous dans le même sens.  Nous pourrons ainsi avoir un réservoir de jeunes pour le stade de Vanves et Expograph Vanves, pour arriver peut être, un jour, à une seule entité et que les gens travaillent ensemble pour faire avanceer les choses et fédére ses idées »

     

    « Maxime Gagliardi a très bien compris le sens du projet que nous sommes en train de  ficeler, et il sera à fond derrière avec, je l’espére,  le maire qui suivra. Si on ne le fait pas à Vanves, Clamart qui a des installations exceptionnelles maintenant, risque de le faire avant nous. En plus, Vanves aura une équipe féminine qui va représenter la ville et Expograph en Mai prochain  sur le plus gros tournoi fédération française de football et entreprise féminin à Chambourcy. Nous allons présenter une équipe féminine qui s’appellera ExpoVanves pour mettre en valeur les deux entités et que David Remisse sera chargé de gérer » annonce t-il.

  • VANVES SIGNE UN CONTRAT DE DEVELOPPEMENT AVEC LE DEPARTEMENT DES HAUTS DE SEINE

    Vanves fait partie des 9 communes des Hauts de Seine qui inaugure la démarche partenariale avec le Conseil Général au travers des contrats de développement lancé le 16 Décembre 2011. « Elle a pour objectif de rendre plus lisible l’intervention financière du Conseil Général et de permettre aux communes de valoriser leurs projets structurants » indique Patrick Devedjian son président. « Plus qu’en temps ordinaire un parenariat doit être nouées avec les communes et les intercommunalités afin de les aider à continuer à jouer leur rôle. Le département assure une sorte de « péréquation à l’envers » lorsqu’il pallie les carences de l’Etat au moyen, notamment, du nouveau régime des subventions contractuelles » constatait un conseiller général de la majorité départementale.

     

    Cette contractualisation se décline à travers des contrats pluriannuels de développement comportant une programmation d’investissement et/ou de fonctionement d’une durée de 3 ans portée par la commune. Les différentes aides dépatementales sont ainsi redéployées en faveur de projets structurants afin de permettre leur réalisationau bénéfice des habitants de ses communes. Et dés la signature, pour une période de 3 ans, la commune ne pourra plus bénéficier d’un financement départemental autre que celui précu au contrat s’agissant des domaines de compétences intégrées dans le périmétre ded la contractualisation.

     

    Bernard Gauducherau,maire de Vanves,  a informé le 21 Juin 2012 Patrick Devedjian  de son souhait de s’inscrire dans ce dispositif et a proposé une programmatiion d’investissement et de fonctionnement  pour 2 776 861,81 €  sur 3 ans (2013-15) qui a été batie en accord avec les services du département, avec un mpontant maximal annuel  de 462 724 €  en privilégiant les projets phares vanvéens :

     

    En investissement ( 1 388 689,81 €) :

    La mise aux normes accessibilité, sécurité-aménagement du stade André Roche (395 000 € soit 36% du coût total) : Il s’agit de remettre à niverau les installations de la tribune du PMS A.Roche tant au niveau sécurité que de l’accessibilité, et de se conformer aux exigences des fédérations françaises d’Athlétisme (FFA) net de Football (FFB) pour un classement compatible avec l’activité du Stade A.Roche

    La réfection compléte de la toiture de l’hôtel de ville et la réfection lourdes des façades (226 000 € soit 27% du coût) : Il s’agit là de préserver le bâti et de prolonger la vie du site. Ses travaux permettront de renettre en état l’étanchéiité de la couverture du toît, d’optimiser les performances énergétiques  avec un renforcement de l’isolation des combles et de ses 27 fenêtres, avec la mise d’illumination par desx projecteurs à leds

    Le réaménagement de l’aide droite de la créche Pomme Cannelle (75 000 € soit 25% du coût) afin de valoriser cet espace. 

    La réfection tous corps d’état du 1er étage de l’école élementaire Marceau (273 250 € soit 34,7% du coût) afin d’améliorer l’accueil des enfants 

    La réfection et le réaménagement du biblio club  (83 750 €  soit 25% du coût)  qui permettra de remodeler l’espace intérieur et d’intégrer l’accessibilité des PMR (Personnes à Mobilité réduite)

    La réfection tous corps d’état du 1er étage de l’école élémentaire Larmeroux (297 000 € soit 37% du coût) afin d’améliorer l’accueil  des enfants. 

    L’aménagement de la mini créche « Pain d’Epices » (38 689,81 € soit 8,8% du coût) dans le local du 1 rue de Châtilon légué à la vlle par Maurice Magne

     

    En Fonctionnement (1 388 172 €) :

    Structures municipales petite enfance (1 113 000 €)

    Activités culturelles (99 000 €) et notamment le fonctionnement de la bibliothéque

    Activités sportuves (75 000 €)

    Relais assistances maternelles/Relais Assistants parentales municipaux (72 000 €)

    Accueil de loisirs (20 100 €)

    Manifestations festives (9 072 €)

  • VANVES AU FIL DE L’ETE : LORSQUE LES BOULISTES EVOLUENT EN 1ERE DIVISION

    Vanves accueille le 21éme Challenge de Vanves de boules lyonnaises dimanche 2 Septembre 2012. Il s’agit d’un 32 doublette qui devraient voir s’affronter 64 équipes venues de toute l’île de France, avec quelques nationaux. Cette traditionnelle manifestation sportive de Rentrée intervient à un moment où cette section célébrant ses 65 ans, connait une année faste : Une équipe a participé au championnat de France  quadrettes de Vichy où elle est arrivée jusqu’en 16éme de finale et une autre équipe a participé au championnat de France doublettes à Castelnaudary. Ce qui ne s’était jamais vu depuis 1994 où une équipe de la section de Vanves avait défendu au Championnat de France quadrettes à Perpignan les couleurs du Stade et des Hauts de Seine. Après avoir remporté les championnats départementaux et régionaux doublettes et quadrettes durant le printemps 2012

     

    C’est le résultat  depuis des années de l’ouverture vers l’extérieur de cette section du Stade de Vanves qui n’a pas hésité à aller se frotter aux plus forts lors de grands concours sur tout le territoire français, et d’avoir organisé sur ces terrains du PMS A.Roche des concours, même nationaux, où certains champions et boulistes renommés sont venus s’affronter. Grâce à l’action du Président Alain Jaunas, disparu voilà maintenant deux ans et dont le nom devrait être donné au local bouliste du pavillon des sports bientôt sur proposition de Maxime Galiardi, maire afjkoint chargé des Sports  

     

    Mais cerise sur le gâteau, grâce à l’arrivée depuis quelques années de nouveaux joueurs dont certains ont évolué dans leur jeunesse en national, la section de Vanves vient de créér une équipe nationale. Une première dans ses 65 ans d’existence.  Elle est composée de Serge et  Stephane Engels, ce dernier ayant reçu l’un des 22 trophées des Sports le 15 Juin dernier, Paolo Caetano, Jérôme Perret, Emmanuel Cremades avec un « joker », Benoît Bacon que ses cinq joueurs peuvent solliciter pour un concours ou un championnat où l’un des cinq serait absent.  

     

    Les vanvéens ont l’occasion ce dimanche,  de découvrir au PMS André Roche, pour ceux qui ne connaissent pas encore, la boule lyonnaise qui est affaire de traces : Le jeu de boules se pratique de par le monde de bien des façons. Bien sûr, les dimensions et l’aspect du terrain, la taille, le poids et la matière des boules ainsi que les règles de jeu différent sensiblement. En France, l’on pratique, en autre, la pétanque, le jeu provençal, la boule bretonne, la boule de fort (qui a la particularité d’être ovale) et bien entendu la boule lyonnaise.

     

    Le geste du bouliste est vieux comme le monde. Tout comme l’existence des boules qui remonte très loin dans le temps et s’est pratiquée d’une manière anarchique et sans règlement jusqu’en 1894. La création du premier règlement est datée du premier grand tournoi organisé sur le cours du Midi à Lyon (actuel cours de Verdun) par le « Lyon républicain ». Mais c’est le 5 Juin 1921 que la Fédération Lyonnaise prit l’initiative d’un rassemblement entre fédérations voisines afin de créer une autorité centrale qui a aboutit à la création de la FFSB (Fédération Française du Sport Boule) dont le siège est bien sûr à Lyon. Avec l’apparition du tir de précision et du tir progressif dans les années 80, la boule lyonnaise est devenu un sport complet et a largement méritée son nom de sports boules.

     

    La lyonnaise n’est pas une discipline de retraités. Elle exige du jarret et du souffle, du biceps, beaucoup d’adresse et un énorme mental. Des terrains parfaitement délimités par un cadre en bois qui doivent présenter comme qualité, une surface parfaitement plane et une grande force d’inertie (pas de rebond). Un règlement d’enfer pour des parties de 11 points jouées en tête à tête, doublette, quadrette qui peuvent durer jusqu’à 2H/3H (et même jusqu’à 7H). Chaque geste a son importance. Tout est affaire de traces : rectiligne ou incurvée que laisse sur le terrain, la sphère lancée par les pointeurs, celles que les joueurs s’empressent de dessiner autour des boules pour signaler leur emplacement précis, celle plus profonde imprimée par la boule du tireur lorsqu’il rate sa cible…

     

    Quand les joueurs se déplacent sur le terrain, ils traînent toujours les pieds, non par agacement, mais pour mettre en place chaque grain du précieux sable. L’objectif est bien sûr de placer la boule le plus prés du but. Lorsque l’un d’entre eux va tirer, il doit annoncer la boule ou le but qu’il va viser. Il faudra alors que sa boule tombe dans un périmètre de 50 cm avant de la toucher et de l’éjecter, à moins qu’il réussisse  un « carreau ». Si ce n’est pas le cas, et même s’il a touché la boule ou le but, ceux-ci sont remis en place.  « Ainsi la boule sportive est aux jeux de boules ce que le biathlon est au ski de fonds de loisirs. Ce sport développe résistance, précision, lucidité et esprit de décision » expliquait l’uun d’entre eux Elle est aussi un merveilleux divertissement qui relie les hommes aux hommes.